Continuons à défendre contre la prédation du loup !
Nous avons fait beaucoup en révisant le plan loup (décret publié le 23 février 2024).
Concrètement :
– Deux tireurs autorisés et le préfet pout même autoriser le recours à un troisième, sur la base de critères objectifs, notamment la taille des estives.
– Les éleveurs et chasseurs peuvent recourir à du matériel de vision nocturne.
– Les lieutenants de louveterie et agents de l’Office français de la biodiversité, assermentés, disposant de lunette à visée thermique n’ont plus l’obligation d’éclairer préalablement la cible.
-Afin de rendre les louvetiers plus disponibles, plus mobiles et plus efficaces, il sera désigné par le préfet dans chaque département plusieurs louvetiers qui seront en charge spécifiquement de la gestion des tirs autorisés de loups.
– Revalorisation des montants d’indemnisation des éleveurs touchés par une attaque (+33 % pour les ovins et de +25 % pour les caprins).
– Révision en cours du statut de protection de l’espèce à l’échelle européenne.
C’est un premier pas, il faut aller plus loin. Notamment sur le fait que les attaques ne concernent plus uniquement les ovins et les caprins !